Arrivés vers 4 heures du mat à Manille, nous trouvons sans difficultés un taxi à la descente du bus pour 500 pesos, direction le terminal 4 de l’aéroport où s’opèrent les vols domestiques. Les chauffeurs de taxi sont bien au fait des transferts de touristes et vous ne resterez pas sur le carreau !
On s’est un peu planté dans les horaires et notre avion n’est qu’à 11 H 20. L’aéroport n’est pas immense et il est difficile de s’occuper durnat tut ce temps.
On en profite pour regarder les philippins qui, à chaque fois qu’ils passent devant un miroir se recoiffent et se rhabillent… on trouve cela plutôt marrant car c’est valable pour l’homme qui s’occupe du nettoyage des toilettes, celui qui fait partie de l’équipe de réparations de l’aéroport que pour le policier en service !
Atterrissage sur l’île de Bohol, nouvel aéroport de Panglao. Tellement nouveau que nous sommes le seul avion !
Nous sommes pris en charge par un véhicule de notre hôtel et on espère enfin un peu de repos. on paie 500 pesos le transfert mais cela ne vaut pas plus de 200…
L’hôtel est mignon, les chambres reproduisent les chocolates Hill, site incontournable de cette île. une piscine en couloir fait le tour du restaurant en plein air. L’équipe est sympathique et c’est très calme car principalement occupé par des couples.
Pour continuer dans nos petites misères, il n’y a en revanche plus d’électricité dans l’établissement, il n’ont rien pour laver le linge, plus de bière à la pomme… La première machine à laver est à 10 bornes, ils n’ont plus de scooter en location !
Fatigués et excédés, on garni donc nos sacs à dos de linge sale pour trouver un moyen de transport sur l’axe principal.
Un tricycle pour 5 avec le chauffeur à 200 baths et nous partons en route pour Alona Beach. Là, vue le nombre de touristes, il y a des Laundry à tous les coins de rue.
Après avoir négocié des activités pour les jours à venir, nous faisons un petit resto sur la plage.
Au passage, cette plage nous semble bien fade comparée à celle que nous avons vu en Thaïlande et à la renommée de cette dernière. Peut être ne nous sommes pas allés assez loin ?
Retour sur notre chambre car demain levé 5 heures pour l’île de Pamilacan en bateau Privé. Notre guide s’appelle James Brown et, à une vingtaine d’années, est déjà propriétaire de son embarcation… c’est son capitaine qui nous fera la visite…
Quand Philippin rime avec américain !
Alors James Brown ? il a assuré ?
Bien que votre périple semble long et difficile, j’imagine que les moments vécus et les paysages découverts resteront à jamais gravés dans vos souvenirs ! Bravo pour vous et pour les enfants !
Bises.
Corinne
Comme prévu il n’était pas là mais l’équipage a assuré et c’est Bien là l’essentiel ! Pour les paysages, ils sont effectivement très beaux et on en gardera un excellent souvenir.